La mobilité partagée s’adresse-t-elle principalement aux personnes qui ont déjà plusieurs options de mobilité ? Peut-elle (à terme) offrir une solution pour les personnes qui ont peu voire aucune option de mobilité, que ce soit pour des raisons financières, ou parce que l’offre de transports en commun est faible dans leur quartier et/ou parce qu’elles ont des connaissances et compétences (numériques) limitées ? Ce sont les questions que nous avons posées à différents spécialistes de la mobilité et en particulier au sociologue Robert Ophoff, qui a consacré sa thèse à ce sujet.
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